Les fruits rouges, champions de l'anti-âge

Quel est le secret des pâtes à l'italienne ? La cuisson al dente, bien sûr, mais aussi l'osmose parfaite qui existe entre la forme de la pâte et la sauce choisie. Voici quelques astuces pour réussir ce mariage. À chaque pâte sa sauce Les proportions Une portion raisonnable, c’est 50 à 70 g de pâtes crues, même si cela dépend de notre niveau d’activité physique. Pour réduire l’impact des glucides, il faut en faire un plat complet en ajoutant une protéine (thon, jambon, œuf...), des légumes (sauce tomate maison...) et des lipides (filet d’huile d’olive).

Les pâtes courtes – orecchiette, farfalle – requièrent des sauces onctueuses et épaisses.

Les pâtes striées et vrillées – casarecce, mafalda corta, radiatori – retiennent particulièrement les sauces, qu'elles soient fluides ou épaisses.

Pour une cuisson al dente parfaite : plonger les pâtes dans beaucoup d’eau bouillante (2,5 l pour 500 g de pâtes) avec un peu de gros sel et les laisser cuire 1 à 2 min de moins que le temps indiqué sur le paquet. Une fois égouttées, les faire chauffer à nouveau 1 min dans la casserole avec la sauce et un peu d’eau de cuisson.

Les pâtes longues et élancées – linguine, spaghetti, tagliatelle – affectionnent les sauces fluides, les jus courts, ou même un simple filet d’huile d’olive et quelques copeaux de parmesan.

Les pâtes creuses – penne, conchiglioni, rigatoni – accueillent les farces et se gorgent de sauces généreuses.

VOLFF / STOCK.ADOBE.COM

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HORS-SÉRIE I SANTÉ MAGAZINE

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