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PUBLI-COMMUNIQUÉ

après le décès de ma femme, m’a permis d’avancer» C’EST MON HISTOIRE/ À L’ÉPREUVE DE LA VIE Êtr paul , « Il y a cinq ans, Émilie et Olivier tombent fous amoureux. Un an après, ils se marient et s’installent à Troyes où lui a trouvé un emploi d’ouvrier agricole. Dans la foulée, Émilie tombe enceinte. Quelque temps après la naissance de leur enfant, Émilie décède d’un accident de la route. Aujourd’hui, Olivier, 30 ans, élève seul leur fils. Il raconte comment ses proches et sa banque l’ont accompagné pour avancer.

TÉMOIGNAGE FICTIF INSPIRÉ DE FAITS RÉELS

9h03 J’entends, dans le couloir, les pas déjà bien assurés de Mathis, mon fils, 2 ans aujourd’hui. Son rire et sa joie inébranlable sont vraiment les plus puissants des moteurs. C’est bientôt le moment de semer les céréales d’hiver dans l’exploitation où je travaille, et il faut préparer les sols qui ont un peu souffert lors de la dernière récolte. 9h17 Avant de partir travailler, je salue Sophie, l’assistante maternelle, qui vient d’arriver. Après le décès d’Émilie, ma femme, j’ai dû m’arranger pour faire garder Mathis quasiment à temps plein pour pouvoir garder mon emploi, aux horaires contraignants. Quand notre fils est né, notre conseiller bancaire nous avait parlé de l’assurance décès qui nous paraissait une bonne solution : nous avons pu choisir un capital garanti de 50000 euros qui me permet aujourd’hui de maintenir notre niveau de vie et de pallier la perte de revenus d’Émilie dans les premiers temps. En tant que bénéficiaire, j’ai perçu 100000 euros car Émilie avait également souscrit l’option

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