Echappées Belles en Bretagne
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Le phare de Goulphar, à Bangor, mis en service en 1836 et automatisé depuis 2002. Au rez-de-chaussée, il accueille une exposition permanente sur les phares et balises et les aides à la navigation. L’ensemble de l’édifice est ouvert au public qui peut se rendre jusqu’à la terrasse supérieure. Mais gare au vertige : la tour mesure 52 mètres !
une lanterne et une galerie, à laquelle on accède au bout de 247 marches. Le panorama sur l’intérieur de l’ île et la Côte sauvage est tout simplement époustouflant. De retour à Kervila- houen, tournez à gauche et immédia- tement à droite vers Bordelouet : au premier croisement, prenez à droite vers Domois que vous éviterez pour continuer tout droit jusqu’au séma- phore du Talut. Il y a une très belle vue sur les falaises, où s’égosillent les oiseaux de mer. N’approchez pas le bord, les ruptures de pente soudaines y sont sournoises, bien plus que dans le nord de l’ île.
Beauté brute, rochers furieux, mer insoumise. « Diabolique mais superbe », disait Monet en parlant de la Côte sauvage, où il est venu chercher l’inspiration à l’été 1886. surveillé, de part et d’autre de la ria, par deux fortins du XIX e siècle. Un site tellement protégé qu’aujourd’hui encore, sa beauté est préservée. Port An Dro. L’accès était autrefois
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