I COMME INFO spécial IMMOBILIER

INTER VIEW

YANN LHUISSIER Membre du Comité Exécutif de LCL, Marchés & Clients, Banque Privée, Développement Immobilier

C’est une première et un événement. Du 3 au 5 novembre 2020, LCL organise le premier rendez-vous virtuel consacré à l’immobilier en France. Yann Lhuissier , membre du Comité Exécutif de LCL, nous le présente. “Nous voulons montrer qu’il y a encore des opportunités et que nous continuons à prêter” Pourquoi ce Salon ? Nous organisons cet événement pour prendre le contre-pied du contexte négatif de la rentrée autour de l’immobilier. On a beaucoup dit que les perspectives étaient mauvaises, que le marché se retournait, que les banques ne prêtaient plus… “Alors que la période montre au contraire de nouveaux comportements, que l’immobilier reste une valeur refuge en temps de crise et constitue aussi une réponse face aux inquiétudes sur les retraites…” Nous voulons montrer qu’il y a encore des opportunités et que nous continuons à prêter. Nous allons faire 15 milliards d’euros de prêts immobiliers cette année ! Pourquoi virtuel ? Dans le contexte, nous nous sommes dit qu’il était impossible d’organiser physiquement ce rendez-vous… Mais pourquoi ne pas le faire en ligne ? L’ingéniosité de nos équipes nous a permis

de trouver des solutions et de proposer un vrai Salon qui se visite, pour préparer, accélérer et finaliser son projet immobilier. La banque est-elle légitime pour organiser un tel événement ? Je le pense ! Nous sommes un acteur principal pour finaliser un investissement immobilier puisque nous apportons le financement. Et nous nous situons au cœur d’un écosystème de conseil que ce soit au sein de notre groupe avec Angle neuf , la filiale immobilière de LCL ou Crédit Agricole Immobilier , ou en dehors avec nos nombreux partenaires. Nous avons la capacité de réunir tous les acteurs avec en outre l’intérêt d’une dimension nationale déclinée dans toutes les régions. “Ce n’est pas seulement un événement parisien : un Lyonnais, par exemple, peut aussi y trouver des réponses locales”. Y aura-t-il une suite ? Nous en avons la volonté, si bien sûr l’audience est suffisante. Et nous mettons les moyens sur cette première édition pour y parvenir. Dans l’immédiat, le digital, c’est la sécurité, mais à l’avenir, notre souhait est de pouvoir mixer physique et virtuel dans l’organisation de ces événements.

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